PSYCHANALYSE & PHILOSOPHIE, Sciences humaines, Littérature, Art, Science - « Là, les mots s’éveillent à leur énigme, à la bienheureuse ambiguïté » (Levinas) - « Je pourrais dire que ma propre position historique est d’être à l’arrière-garde de l’avant-garde » (Barthes)
PSYCHANALYSE & PHILOSOPHIE, Sciences humaines, Littérature, Art, Science - « Là, les mots s’éveillent à leur énigme, à la bienheureuse ambiguïté » (Levinas) - « Je pourrais dire que ma propre position historique est d’être à l’arrière-garde de l’avant-garde » (Barthes)
Je me permets ici de vous informer de la sortie du très beau roman de mon amie Emmanuelle Favier, « La Part des cendres » (Albin Michel, 2022), grande fresque historique pleine de poésie et de délicatesse.
Emmanuelle Favier est écrivaine, poétesse et dramaturge.
Quatrième de couverture :
« De l’incendie de Moscou au manoir de Kerlan en passant par Dresde, Odessa, la Carinhall de Goering, Nuremberg et New York, deux siècles de tumulte ou le fol itinéraire d’un petit coffret contenant un trésor, symbole de la grande Histoire des spoliations et des guerres.
Fresque monumentale où l’on croisera les monstres et les héros modestes de l’Histoire, les crapules et les martyrs, La Part des cendres entrelace avec génie les fils de cette toile qui fait l’humanité – son courage, sa ferveur et son avidité. »
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Ici deux très passionnantes interviews:
– sur France culture le 4.9.22 avec Mathias Énard :
Comme dans son roman, elle nous parle entre autres des questions de la subjectivité, de l’élaboration romanesque du réel historique, de la mémoire, de la Shoah, du transgénérationnel, de la Mission de recherche et de restitution du Ministère de la Culture (1), de la Résistance.
Ici deux belles citations de ce qu’elle nous dit dans ces interviews :
« Mon obsession, c’est de traquer ce dont on hérite. Qu’est-ce qu’on fait de ce qu’on nous transmet ? Est-ce qu’on en fait un fardeau ? est-ce qu’on en fait un élan ? C’est un peu le sujet de tous mes livres… ».
« Pour moi, la langue doit absolument chercher à ouvrir une sorte de porte à double fond qu’il y aurait derrière les mots : sortir du premier niveau du langage et de ce qu’il nous donne à entendre, pour essayer de comprendre ce qu’il y a derrière ».
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Romans :
– Le courage qu’il faut aux rivières, Albin Michel, 2017
– Virginia, Albin Michel, 2019
– La Part des cendres, Albin Michel, 2022
Poésie :
– À chaque pas, une odeur, Librairie-Galerie Racine, 2002
– Dans l’éclat des feuilles vives, La Musaraigne, 2005
– Le Point au soleil, Rhubarbe, 2012
– Le soleil vient d’en face, Rhubarbe, 2021
Nouvelles :
– Confession des genres, Luce Wilquin, 2012
– Une lettre, Rhubarbe, 2014
– L’Œil d’Artemisia, Malo Quirvane, 2020
– Les Funérailles de Roberto Bolaño, La Guêpine, 2020
– Allons dans le grand vent, Rhubarbe, 2021
– Toutes ces choses qui passent, Rhubarbe, 2022
– Le Chant du syrinx, La Guêpine, mai 2023 (à paraître)
Traduction :
– La Mégère apprivoisée, de William Shakespeare, Les Belles Lettres, sept. 2023 (à paraître)
Album :
– avec Jean-François Demay et Fabien Montes, Rimbaud, Formulette production, 2015
Comme j’en ai parlé récemment avec différents amis, je vous mets ici en PJ deux textes publiés (en français et en espagnol) de 2014 sur Michel-Ange comme artiste et comme poète (car Michel-Ange est aussi un immense poète). Ils traitent du « Jugement Dernier » et de ses superbes poèmes, à la fois fort délicats et très directs. J’y propose un éclairage personnel, quelque peu nouveau, sur le « Jugement Dernier ».
J’y parle de la « mélancolie » au sens de la médecine ancienne, et non pas au sens moderne, psychiatrique ou psychanalytique. A la Renaissance, la créativité, poétique, artistique, intellectuelle, existentielle, était associée à la mélancolie pour peu qu’elle soit traversée de manière inventive – « métaphorique » dit (le Pseudo-)Aristote dans son texte le Problème XXX, 1 qui a élaboré cette idée largement reprise à la Renaissance.
Dans ces textes, je me suis appuyé sur l’histoire de l’art et des images telle qu’elle est envisagée par Aby Warburg (1), et à sa suite par ceux qui ont de manière si féconde travaillé son apport, comme Georges Didi-Huberman (EHESS) et Horst Bredekamp (Univ. Humboldt, Berlin) – chez qui j’ai eu l’honneur d’être Visiting Fellow en 2011-2012. Autant d’auteurs nourris de la psychanalyse (2).
Dans ces deux textes, j’élabore aussi largement sur la question écologique du rapport entre non-humain et humain. Je me suis ici appuyé sur les apports de l’anthropologie sociale, et particulièrement de l’oeuvre de Philippe Descola (élève de Claude Lévi-Strauss, et qui a été titulaire la Chaire d’Anthropologie Sociale au Collège de France, et avec lequel j’ai eu la chance de collaborer) avec qui j’ai eu la chance de collaborer) (3) mais aussi des anthropologues du Laboratoire d’Anthropologie Sociale. En effet, j’ai eu le plaisir d’animer un séminaire au Collège de France entre 2011 et 2013, intitulé « Littératures et anthropologie », avec deux anthropologues, Corinne Fortier et Salvatore d’Onofrio.
Je les ai écrits à une époque où je n’étais pas solidement initié à la psychanalyse, mais je m’intéressais déjà à l’histoire de la sexualité (à la Renaissance). Il y a dans certains de ces textes des choses que je formulerais autrement maintenant.
Le premier texte a été publié avec le Centre Allemand d’Histoire de l’Art à Paris (DFK), dans un volume dirigé par Georges Didi-Huberman (EHESS) , Lena Bader (DFK) et Johannes Grave (Univ. Iena): « Mélancolie et parole sur l’image chez Michel-Ange », in G. Didi-Huberman et al (dir.), Sprechen über Bilder – Sprechen in Bildern, Deutscher Kunst Verlag, Berlin, 2014, p. 159-172. Il est en français.
Le second texte a été publié avec le Colegio de Mexico et le Laboratoire d’Anthropologie Sociale, dans un volume dirigé par Karine Tinat (El Colegio de Mexico) et Dimitri Karadimas : « Creencia y sexualidad en la gaya ciencia de El Juico Final », D. Karadimas et K. Tinat (dir.), in Sexo y fe. Lecturas anthropologicas de creencias sexuales e prácticas religiosas, El Colegio de Mexico, Mexico, 2014, p. 47-68. Il est en espagnol.
Brillant et sympathique anthropologue, Dimitri Karadimas est malheureusement décédé en 2017. ici un lien vers ses travaux fort passionnants: http://las.ehess.fr/index.php?2120
Une dernière précision: Karine Tinat, Corinne Fortier, Dimitri Karadimas, Salvatore D’Onofrio sont (ou était) tous des élèves de Françoise Héritier et de sa très importante anthropologie du masculin/féminin (voir l’ouvrage du même nom chez Odile Jacob) (elle aussi élève de Claude Lévi-Strauss, elle a été titulaire de la Chaire d’Anthropologie Sociale au Collège de France avant Philippe Descola).
NOTE
(1) : Ici le lien vers mon intervention sur le cheminement intellectuel et psychanalytique d’Aby Warburg:
(2): Georges Didi-Huberman déploie son élaboration symptomale des images dans « L’image survivante » (Minuit, 2002). Horst Bredekamp élabore sur Lacan pour sa théorie de l’image dans « Théorie de l’acte d’image » (La Découverte,2015, trad. F. Joly).
(3): De Philippe Descola, voir particulièrement son opus « Par-delà nature et culture » (Gallimard, 2005) et son livre sur les images « Les formes du visible », Seuil, 2021). J’aimerais aussi citer son engagement écologique allant de pair avec son apport.
Ici l’enregistrement de la belle rencontre autour de Jacob Rogozinski, pour son très novateur ouvrage « Moïse l’insurgé » (Cerf, 2022), ayant eu lieu à la Librairie des Bateliers, le 20.10.22.
Jacob Rogozinski dialogue à cette occasion avec Leiv Fraenckel. (Et répond à des questions de Stefan Kristensen et de moi-même).
Présentation de l’ouvrage par l’éditeur:
« Une révolution sociale en Canaan, présentée de manière poétique dans l’Exode. Un dieu, celui de Moïse, qui marque la naissance d’une ‘contre-religion’. Un dispositif d’émancipation. Tel est le récit que dessinent en creux les dernières découvertes.
Qui était Moïse ? L’histoire de la sortie d’Égypte n’est-elle qu’une légende ? Pourquoi la Bible le présente-t-il comme un lépreux né d’un inceste dans une tribu maudite ? Grâce aux découvertes les plus récentes des historiens et des archéologues, il est possible d’explorer le noyau de vérité du récit de l’Exode. Un soulèvement a eu lieu en Canaan dans l’Antiquité. Il a donné naissance à une société sans roi et sans État, dont les lois sont hospitalières aux étrangers, favorables aux asservis, aux exclus. Cette insurrection n’aurait pas été possible si un homme surnommé Moïse n’avait pas introduit un dieu étranger, un dieu qui ne sanctifie pas le pouvoir des rois, mais soutient les opprimés dans leur combat pour la justice. L’enquête se centre alors sur le dieu de Moïse afin d’élucider la genèse du monothéisme. Ce n’est pas seulement l’histoire de l’Exode qui est interprétée ici de façon originale, mais aussi le sacrifice d’Abraham, l’Alliance, le bouc émissaire, le messie. On en vient alors à se demander si le monde de Moïse, un monde affecté par une crise dévastatrice, ne ressemble pas étrangement au nôtre et si la promesse d’émancipation portée par ce récit ne nous est pas aussi adressée. »
La réflexion de Jacob Rogozinski est librement inspirée de la méthode de Freud dans son « Moïse ».
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Jacob Rogozinski est Professeur émérite à la Faculté de philosophie de l’Université de Strasbourg. Parmi ses différentes publications, citons aussi:
Le don de la Loi : Kant et l’énigme de l’éthique, Presses Universitaires de France, 1999.
Faire part : cryptes de Derrida, Lignes & Manifestes, 2005, réédition Lignes, 2014.
Le moi et la chair : introduction à l’ego-analyse, Cerf, 2006.
Guérir la vie. La passion d’Antonin Artaud, Cerf, 2011.
Ils m’ont haï sans raison. De la chasse aux sorcières à la Terreur, Cerf, 2015.
Djihadisme : le retour du sacrifice, Desclée de Brouwer, 2017.
De 2020 à 2022, nous avons animé ensemble le séminaire Articulations philosophie-psychanalyse, commun à la Faculté de Philosophie de Strasbourg et à la FEDEPSY (1).
Leiv Fraenckel est professeur de philosophie au lycée Aquiba de Strasbourg. Il enseigne aussi au département d’études hébraïques et juives de l’Université de Strasbourg. Il anime la chaîne Youtube philosophique « Serial Thinker » (2).
Publié le 17 octobre 2022 par Dimitri Lorrain dans Non classé
Chères amies, chers amis,
Je relaie ici l’information de la tenue du Festival d’idées « Habitabilités : architecture, ville et nature à l’ère de l’anthropocène » qui se tiendra à Strasbourg au Phare Citadelle les vendredi 21 et samedi 22 octobre.
Autour de conférences, de visites, de projections et de tables rondes, le festival nous invite à réfléchir sur les manières collectives de construire, de penser l’urbanisme et sa relation à la nature, et de vivre en ville ensemble face aux enjeux écologiques.
Les manières de fabriquer l’architecture et la ville évoluent, tout comme notre regard sur les conditions actuelles de l’habitabilité de la Terre. Ce festival d’idées vise à faire dialoguer la philosophie, l’histoire, le cinéma, les architectes, les urbanistes et les citoyens, pour partager un moment de réflexion sur nos modes de vies et les potentiels à notre portée pour les faire évoluer. Il explorera les nouveaux rapports entre la ville et la nature mais aussi les modèles architecturaux et urbains alternatifs qui émergent en ce sens.
Auront lieu deux conférences majeures pour l’architecture :
Michael Ghyoot pour l’agence belge Rotor, le vendredi 21 octobre à 19h,
Le philosophe Philippe Simay et l’architecte Clara Simay de l’agence Grand Huit,le samedi 22 octobre à 18h.
Autour de ces moments nous discuterons avec Joël Danet du Lieu documentaire qui présentera le film Milieu, la philosophe Joëlle Zask, Syamak Agha Babaei, premier adjoint à la maire de Strasbourg, Yannick Grosse de l’agence Prototip pour présenter le projet Phare Citadelle, et l’historien Sylvain Piron.
Cet événement se tiendra dans la grande halle du tiers-lieu Phare Citadelle, 11 rue de Nantes (tram ligne D arrêt Citadelle).
L’entrée est libre et gratuite.
En parallèle de cet événement, le Phare Citadelle est ouvert à la restauration à partir de 17h et programme des sessions de DJ Set à partir de 19h. (https://phare-citadelle.eu/)
Ce festival d’idées s’est construit dans le cadre du projet USIAS « Par-delà ville et nature » porté par le philosophe Mickaël Labbé. Il s’inscrit dans le cadre de la programmation culturelle des Journées de l’Architecture qui court sur tout le mois d’octobre en Alsace, à Bâle et au Bade-Wurtemberg, dont le thème de l’édition 2022 est « Architecture & Ressources ».
Le 20 octobre 2022, à 18h30, aura lieu à la librairie des Bateliers une rencontre autour du récent ouvrage de Jacob Rogozinski, intitulé « Moïse l’insurgé » (Cerf, 2022).
Jacob Rogozinski dialoguera à cette occasion avec Leiv Fraenckel.
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Présentation de l’ouvrage par l’éditeur:
« Une révolution sociale en Canaan, présentée de manière poétique dans l’Exode. Un dieu, celui de Moïse, qui marque la naissance d’une » contre-religion « . Un dispositif d’émancipation. Tel est le récit que dessinent en creux les dernières découvertes.
Qui était Moïse ? L’histoire de la sortie d’Égypte n’est-elle qu’une légende ? Pourquoi la Bible le présente-t-il comme un lépreux né d’un inceste dans une tribu maudite ? Grâce aux découvertes les plus récentes des historiens et des archéologues, il est possible d’explorer le noyau de vérité du récit de l’Exode. Un soulèvement a eu lieu en Canaan dans l’Antiquité. Il a donné naissance à une société sans roi et sans État, dont les lois sont hospitalières aux étrangers, favorables aux asservis, aux exclus. Cette insurrection n’aurait pas été possible si un homme surnommé Moïse n’avait pas introduit un dieu étranger, un dieu qui ne sanctifie pas le pouvoir des rois, mais soutient les opprimés dans leur combat pour la justice. L’enquête se centre alors sur le dieu de Moïse afin d’élucider la genèse du monothéisme. Ce n’est pas seulement l’histoire de l’Exode qui est interprétée ici de façon originale, mais aussi le sacrifice d’Abraham, l’Alliance, le bouc émissaire, le messie. On en vient alors à se demander si le monde de Moïse, un monde affecté par une crise dévastatrice, ne ressemble pas étrangement au nôtre et si la promesse d’émancipation portée par ce récit ne nous est pas aussi adressée. »
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Jacob Rogozinski est Professeur émérite à la Faculté de philosophie de l’Université de Strasbourg. Parmi ses différentes publications, citons:
Le don de la Loi : Kant et l’énigme de l’éthique, Presses Universitaires de France, 1999.
Faire part : cryptes de Derrida, Lignes & Manifestes, 2005, réédition Lignes, 2014.
Le moi et la chair : introduction à l’ego-analyse, Cerf, 2006.
Guérir la vie. La passion d’Antonin Artaud, Cerf, 2011.
Ils m’ont haï sans raison. De la chasse aux sorcières à la Terreur, Cerf, 2015.
Djihadisme : le retour du sacrifice, Desclée de Brouwer, 2017.
De 2020 à 2022, nous avons animé ensemble le séminaire Articulations philosophie-psychanalyse, commun à la Faculté de Philosophie de Strasbourg et à la FEDEPSY (1).
Leiv Fraenckel est professeur de philosophie au lycée Aquiba de Strasbourg. Il enseigne aussi au département d’études hébraïques et juives de l’Université de Strasbourg. Il anime la chaîne Youtube philosophique « Serial Thinker » (2).
Un billet pour vous remercier car, depuis deux ans et demi (entre avril 220 et octobre 2022), presque 7000 personnes différentes, de 74 pays, ont visité ce blog. Depuis la rentrée, le blog est visité en moyenne au moins par une centaine de visiteurs chaque semaine. Je me réjouis que celui-ci, à son humble niveau, dans l’océan numérique, puisse être utile pour transmettre une certaine pratique de la psychanalyse, de la pensée, de la culture, qui essaie d’être à la fois rigoureuse, ouverte et aussi créative que possible!
Un billet pour vous informer de la tenue du colloque « Habitabilités : architecture, ville et nature à l’ère de l’anthropocène » qui aura lieu à Strasbourg du 05 au 07 octobre, organisé par Mickaël Labbé et Victor Fraigneau en coopération avec le CREPHAC et l’USIAS.
Intervenants: Xavier Bonnaud, Armelle Choplin, Elena Cogato Lanza, Victor Fraigneau, Paul Guillibert, Mickaël Labbé, Fanny Lopez, Catherine Maumi, Flaminia Paddeu, Marion Waller, et Albena Yaneva.
Ce colloque réunit des approches complémentaires sur la question de l’habitabilité, sa structure, sa fragilité, et les stratégies de son maintien. Nous y convoquons la notion de ressource sous ses aspects les plus divers : les ressources matérielles et leur épuisement, les ressources infrastructurelles et la nécessité de leur prise en compte (énergie, alimentation, sol, espace, etc.), les ressources participatives et démocratiques d’idées alternatives aux conditions actuelles de l’habitat et de l’aménagement urbain.
L’ouverture de cet événement aura lieu avec une conférence de la philosophe Chris Younès le 05 octobre, à l’amphithéâtre Gusdorf de la Faculté de Philosophie de Strasbourg (7, rue de l’Université) à 18h,
suivie par deux journées de conférences les 06 et 07 octobre (9h-18h et 9h-16h30) qui se tiendront au Collège Doctoral Européen (46 boulevard de la Victoire), avec comme intervenant-e-s Xavier Bonnaud, Armelle Choplin, Elena Cogato Lanza, Victor Fraigneau, Paul Guillibert, Mickaël Labbé, Fanny Lopez, Catherine Maumi, Flaminia Paddeu, Marion Waller, et Albena Yaneva.
Ce colloque s’est construit dans le cadre du projet USIAS « Par-delà ville et nature ». Il s’inscrit dans le cadre des Journées de l’Architecture dont le thème de l’édition 2022 est « Architecture & Ressources ».
A noter également un Festival d’Idées les 21 et 22 octobre prochains aux Halles Citadelle (avec, notamment, les collectifs d’architectes Rotor et Etc., l’agence Grand Huit, les intellectuels Joëlle Zask, Philippe Simay, Michel Lussault, Sylvain Piron).
Du 5 octobre 2022 au 7 octobre 2022
De 18h00 à 16h30
05 octobre : 18h amphithéâtre Gusdorf, 7 rue de l’Université, Strasbourg
06 octobre : 9h-18h
07 octobre : 9h-16h30
Collège Doctoral Européen, 46 bd de la Victoire, Salle de conférence
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