NAÏVETE ET AVENTURE EN PSYCHANALYSE
Chères amies, chers amis,
Ici en PJ mon édito pour le « Journal du confinement/déconfinement » (aussi dénommé « Ephéméride ») n° 9, de la FEDEPSY. Ce texte intitulé « A l’Est, du nouveau » porte sur la naïveté (1), qualité fondamentale de l’analyste selon Lacan, mais aussi sur l’aventure polyphonique et intergénérationnelle ayant lieu à la FEDEPSY et particulièrement dans le « Journal du confinement/déconfinement ».
C’est bien d’une naïveté lucide, ouvrant à la possibilité d’une aventure (subjective, dans la cure, collective), dont il est question – comme on peut parler de sage folie.
Entre transmission et créativité, l’aventure psychanalytique apporte bien du nouveau !
Bonne lecture !
(1): Ailleurs, Lacan parle de « laisser-être » ou de « non-savoir », ou de « docte ignorance ». Lucien Israël (dans « Boiter n’est pas pécher » par ex. p.58) et Jean-Richard Freymann (« L’inconscient, pour quoi faire? ») parlent eux de « page blanche ». Sur le laisser-être, Bernard Baas (dans son livre « De la chose à l’objet » , p. 123 par ex.) et à Alain-Didier-Weill (dans « Un mystère plus loin que l’inconscient » p. 126 par ex.) ont écrit des choses passionnantes.